Vacation in Japan, 2010

Friday, 28 September 2012

Every year, the association organizes an interesting vacation for the students in an Asian country. The members of the association create a program (after sightseeing and relaxing moments) which is usually two weeks, dealing with logistics (hotel reservations, local transport ...) as well as writing a guide (historical cities and buildings visited, specialties, places of relaxation ...). On site, members are responsible for the "shipping" and all the little problems that may arise. This year we took a group of 15 students to Japan for two weeks on a route that allowed them to discover different aspects of Japan (Imperial Japan to modern Japan through the lords of war).


Voyage au Japon du 8 avril au 22 avril 2010


En méditation profonde avant le grand départ

Air France : Vol Paris-Osaka (8 avril)

La grève de la SNCF ne présageait rien de bon. Après avoir attendu Nathaniel au moins deux heures (enfin !!!!!), nous sommes tous passés à travers la porte d’embarquement.

Une fois dans l’avion, après une dernière actualisation des statuts Facebook afin de narguer nos pauvres camarades restés en France, nous avons tous tenté (en vain …) de dormir malgré les nombreux films que nous pouvions visionner sur notre écran personnel (merci Air France). Ci-dessous les photos de Mathieu dormant par terre (on fait ce qu’on peut pour essayer de dormir). Notre trajet aérien fut donc entrecoupé de pauses bouffe (glaces, nouilles, sandwichs au concombre…). Après environ dix heures de trajet, on atterrit à Osaka (youpiiiiii !!), on se rend compte que les mangas sont omniprésents au Japon : on est tous extasié devant un avion Pokémon.


En route pour le château d'Osaka

Osaka (9 avril)

Passés à la douane sans encombre, nous avons ensuite pris le JR (après avoir essayé de déchiffrer les cartes pendant une bonne dizaine de minutes) pour poser nos bagages à l’auberge de jeunesse, le Nagai Youth Hostel. L’auberge de jeunesse se situe dans un stade, il est donc commun de voir des Japonais courir entre 23h et 23h30, heure à laquelle ils s’adonnent à leur petit plaisir personnel. Les chambres (traditionnelles) sont spacieuses pour l’un des deux groupes (en effet, les filles – mis à part Claire – se sont retrouvées à 6 dans une chambre de 12), les futons confortables, tout le monde est agréablement surpris par les prestations de cette auberge de jeunesse gracieusement trouvée par notre chère prez (merci Agnès ^^).

Petite parenthèse sur les salles de bain (lieu de rencontre prisé des Japonais) :
- Les toilettes : il va nul sans dire que les Japonais aiment le contact des fesses contre une lunette chaude (oh yeah), les WC sont ainsi toutes chauffées, et ce n’est pas désagréable, François vous témoignera de ces nouvelles expériences anales, notamment le jet d’eau entre les fesses. Certaines filles sont toujours réticentes et refusent d’essayer le jet d’eau (ou autres loufoqueries qui se cachent derrière des boutons en kanji bizarres), mais comme on dit « tant qu’on n’a pas essayé, on ne peut pas savoir ». Pas de préjugés donc. Les Japonais ne connaissent pas non plus le papier triple épaisseur, ou ont les fesses très fragiles – et oui, le PQ européen, ça arrache – mais toujours est-il que leur papier n’essuie qu’à quantité conséquente. En conclusion, lorsqu’on rentre dans des toilettes japonaises, on comprend qu’ils n’en sortent pas.
- Les salles de bain : les Japonais aiment les bains (oui, ils se lavent – enfin, ils se maquillent et se coiffent surtout -), tout le monde le sait. Mais ce qu’on ne sait pas, c’est que leur gel douche et leur shampoing sont également fournis et marchent très bien (notamment l’après shampoing des onsen à Kyoto, mais ne nous égarons pas, nous y reviendrons plus tard). Après une douche, on plonge donc dans un bain chaud – halte aux pudiques – très relaxant après une longue journée de marche. Agnès et Pauline auront passé en tout (au moins) 6h dans le bain (ce sont des sirènes J) … ah, non, attendez, c’était le quart d’heure de confessions intimes. Oui, le bain est principalement un lieu de commérage (argument imparable pour les filles, d’ailleurs nous n’avons plus de secret les unes pour les autres et nous avons toutes été converties aux bains japonais).
NB spécifique à Nagai Youth Hostel : la marche de 15 km qui séparait la chambre à la salle de bain était suffisante pour nous réveiller chaque matin ;)

Après avoir déposé nos bagages, nous sommes partis en quête du château d’Ôsaka. Affamés par cette première expérience dans le métro japonais (horriblement onéreuse pour les néophytes), nous nous sommes arrêtés pour nous restaurer dans un petit restaurant familial au premier étage d’un bâtiment qui ne payait pas de mine. Grâce à notre traductrice (spéciale dédicace Popo wesh wesh on te kiffe meuf), nous commandons un menu de 650 yen (pas cheeeerrr) servi par des Japonais pliés en quatre pour répondre à nos demandes. On retiendra la réaction d’une serveuse lorsqu’elle comprit que l’un d’entre nous voulait de l’eau : elle a quasiment tiré la sonnette d’alarme, alerté ses collègues pour l’apporter au plus vite… ah qu’ils sont adorables ces Japonais J. Impressionnée par les talents linguistiques de Popo, une serveuse est même sortie du restaurant pour nous emmener jusqu’à la Poste, où la plupart des joyeux lurons étaient supposés changer leurs sous, mais manque de bol, les Japonais ne prennent pas la Visa Mastercard (qui plus est, au lieu de dire que ce n’est pas possible ou qu’ils ne savent pas, les Japonais cherchent toujours pendant 15 plombes à tenter de formuler une réponse potable face au désarroi d’un gaijin – terme péjoratif pour désigner les étrangers).

Enfin, Ôsaka-jo ! Et on peut dire que Toyotomi ne lésine pas sur les efforts pour construire ses châteaux… et que les mecs qui l’ont reconstruit en béton non plus ! Néanmoins, jolie vue d’Ôsaka, joli musée, une belle première approche du Japon médiéval.

Pour reposer nos neurones bien fatigués (avouons-le, l’EDHEC moyen n’est pas habitué à les solliciter), nous sommes ensuite partis en direction d’Amerika Mura, quartier branché d’Ôsaka. Minh Marie s’est notamment arrêtée 4 fois (au moins) pour prendre des photos avec Miura Haruma (non, pas le vrai, juste la version 2D qu’on pouvait admirer sur différents panneaux publicitaires). Nous nous sommes ensuite baladés dans la rue jusqu’à aboutir sur une avenue très animée avec plein de restaurants, de bars, … Abordés par des spécimens masculins pour le moins étranges (entre un décoloré aux cheveux roses tirant sur le orange – la couleur était indéterminée et indéterminable - et un Japonais ayant trop abusé des UV) qui tentaient de nous rediriger vers leurs restaurants plus ou moins bizarres (ouiii, on peut vous réserver une salle rien que pour vous… ahem, ouais mais non merci, mec), nous avons échoué dans un petit izakaya où nous avons goûté aux okonomiyaki. Les okonomiyaki sont des sortes d’omelette avec du calamar, du poisson séché, …. Ils n’ont pas tous fait l’unanimité, mais il va sans dire que ce fut un réel pas dans la découverte des spécialités culinaires japonaises. Certains courageux ont tenté les takoyaki (des boulettes contenant de la pieuvre et des ingrédients non identifiés) : c’était succulent !

Certains membres du groupe partirent ensuite à la recherche d’un bar dans lequel se poser tranquillement. Après avoir retraversé la rue en long, large et en travers, nous avons opté pour Cellars, conseillé par le guide. En descendant joyeusement les escaliers malgré nos têtes de déterrés (oui, 12h dans l’avion, ça crèèèèève), nous avons poussé la porte… pour nous retrouver nez à nez avec une serveuse nous disant dans un anglais plus qu’approximatif « Hostessuuu barru. Hostessu. » Pas besoin d’avoir fait prépa pour savoir qu’elle nous demande de dégager le plus vite possible de son bar à putes. En effet, les hostess sont des femmes qui boivent avec vous mais après on ne sait jamais ce qui peut se passer … Comme vous l’auriez compris, Ôsaka, après 20h, c’est Pigalle (ou Pigaru pour les intimes). Les host et les hostess sont partout dans la rue, et on les reconnaît à leur look léchés (sérieux les mecs passent minimum 4 heures devant leur glace, entre les cheveux, le maquillage – discret mais efficace – le costard – gris métallisé, plus c’est mauvais goût, plus les clientes aiment, et nous aussi – la quincaillerie, et la traditionnelle clope – « je suis un bad boy, mais je m’incline en angle droit pour dire bonjour, merci et oui maman »)… Après s’être fait sortis en règle, on (Minh Marie, Popo, François et Agnès) a décidé de rentrer prendre un bain et de ressortir le lendemain en étant un peu mieux équipés pour affronter la dure réalité des quartiers chauds japonais…


Une photo qui se passe de tout commentaire...

Himeji (10 avril)
Levés à 7h pour être prêts à 8h (ou pas …), nous nous sommes mis en direction d’Himeji. La ville est devenue importante dans l’histoire du Japon grâce à la construction de son château. Après un malencontreux malentendu, nous avons perdu une partie du groupe (François, Claire, Pauline et Teal, son amie américaine bilingue en japonais qui nous a rejoint ;)). Nous nous sommes ensuite arrêtés à Namba pendant une heure pour attendre Nathaniel qui discutait tranquillement au téléphone avec ses parents. Durant cette attente, nous avons pu profiter de la prestation vocale de deux chanteurs en herbe qui provoquaient en nous une insatiable sensation de nous procurer des boules Quiès au plus vite. Le seul moment de distraction fut un sac plastique volant dans les airs au milieu des immenses buildings. En effet, tous les Japonais (y compris les pseudo-chanteurs qui se sont tus pendant un bref instant – merci les oreilles) avaient les yeux rivés sur le sac (cf photo ci-dessous). De retour dans le métro et 270 yen plus tard, nous sommes arrivés à la gare de Shin-Osaka et nous avons pris un train pour continuer notre chemin vers Himeji et avons (enfin) commencé à comprendre le fonctionnement des transports nippons. Une fois sur place, et sous une chaleur accablante (ça change de Lille…), nous avons entamé la longue file d’attente afin de pénétrer dans le château. Les cerisiers sont en fleurs, le ciel est bleu et les oiseaux chantent (n’est ce pas Ophélie ?), tous les ingrédients sont donc là pour que la visite se passe bien, si ce n’est que quatre membres du groupe sont toujours manquants (stress …). Notre respo compte (alias Mathieu) s’est donc chargé de vérifier que les membres restants soient toujours présents. Arrivés à un certain stade de la queue, nous avons tout d’un coup aperçu les quatre disparus et avons grugé de manière magistrale sous le regard offusqué des autres visiteurs japonais (mais n’ont rien osé dire, vive la soumission japonaise :p). Nous avons donc visité ce fameux château construit en 1346 par Akamatsu Sadanori qui s’est agrandi grâce à Toyotomi Hideyoshi et Ikeda Terumasa. Alors qu’une partie de la ville a été détruite par des bombardements, le château sera miraculeusement épargné durant la Seconde Guerre Mondiale.

Sous la chaleur étouffante, Ophélie et Minh Marie sont allées acheter des glaces au thé vert pour se rafraichir. Notons par là que les Japonais sont incroyablement efficaces (sans ironie aucune) : il y avait deux queues, une pour la commande, une pour se faire servir, ce qui accélère notablement le processus. Nos deux joyeuses luronnes sont retournées se poser dans le parc, en face du poste de sécurité et des gardes qui ont rigolé en les voyant assises comme des bûcheronnes. Alors que les autres membres de l’équipe arrivaient au compte-goutte, nous avons observé non sans un certain cynisme les jeunes Japonaises avec des talons. En effet, c’est un fait, les Japonaises ne savent pas marcher avec des talons : leurs jambes sont arquées, elles boitent douloureusement, et on est en droit de se demander pourquoi elles s’infligent encore cette torture alors qu’elles peinent visiblement à supporter les talons lors de la visite d’un château.

Vers 16h, nous nous sommes décidés à aller remplir nos estomacs qui criaient famine. En quête d’un petit restaurant sympathique, nous avons été arrêtés par groupe de collégiennes Japonaises qui trouvaient qu’être Français, c’est vachement cool (cris aigus : Fu-ran-su ? Waaaaaaaa !!). Nous avons donc pris une photo avec elles en souvenir. Nous avons ensuite mangé dans un petit restaurant cosy de la gare des tonkatsu, spécialité de Himeji (morceaux de porc panés et frits recouverts d’une sauce épaisse).

Nous sommes ensuite retournés à la gare d’Osaka et avons pris quelques photos marrantes sur le quai. Pendant que d’autres (ah ces faibles petits enfants toujours fatigués …) sont partis faire dodo, certains d’entre nous (François, Mathieu, Jacques, Nath et Claire) sommes partis au Umeda Sky Building qui grâce à un ascenseur ultra rapide permet d’accéder au sommet de la tour et d’avoir une vue à 360 degrés de la ville (ouaaah c’est trop beau). Notre ventre criant famine, nous sommes allés dans le Takimi Tonju (reconstitution d’une ville ancienne dans un sous-sol) où nous avons trouvé un bon petit restaurant qui proposait un tonkatsu traditionnel très bon marché (yummy).

Le soir, Agnès, Popo, Teal et Minh Marie sont (re)parties en quête d’un bar, les recherches de la veille n’ayant pas été très fructueuses. Après avoir demandé des recommandations auprès de l’accueil de l’auberge, nous avons été redirigées vers le Zerro, qui, apparemment, est un bar « super sympa ». Mais voilà, le problème, c’est que ne connaissant pas l’orthographe de ce fameux bar, nous avons entrepris d’entrer dans un bâtiment carrément chelou intitulé « Club Zero » pour se retrouver nez à nez avec une Japonaise surmaquillée en soutif (ou presque) et un Japonais décoloré à quatre pattes sortant d’en dessous de la table qui tentent de leur expliquer que nous ne sommes pas dans le bon endroit (sans blagues, on n’avait pas compris que c’était – encore – un bar à putes). Après avoir presque traumatisé un host en lui demandant où se trouve le bar Zerro, nous arrivons enfin à bon port. Pour notre plus grand désarroi, le Zerro est en fait un bar à gaijin, comprenez par là qu’il n’y avait absolument aucun Japonais (que ce soient les serveurs ou les clients), l’ambiance était à désirer, bref, le bar était à des années lumière de ce à quoi nous nous attendions. Après avoir rapidement descendu nos verres respectifs, nous nous sommes donc mises en quête d’un autre bar avec une population plus représentative de la jeunesse nipponne. En trainant dans les rues gorgées de host et de hostess, nous nous décidons finalement à aborder l’un d’entre eux qui nous propose d’aller dans un bar à shots. Etant quelque peu suspicieuses quant à l’offre qu’ils nous faisaient (en gros, je te crame et je te récupère à la petite cuillère) et surtout au vu de la « mac » toute ridée qui ressemblait à un vieux yakuza, nous nous apprêtons à la décliner quand en jetant un coup d’œil à notre montre, nous nous rendons compte qu’il est 22h40 et que le couvre-feu de l’auberge est à… 23h. Nous nous hâtons donc de rentrer, ratons le dernier métro, et c’est sans nul doute grâce aux talents de Teal – qui a appelé l’auberge pour les convaincre de nous laisser la porte ouverte jusqu’à 23h10 – que nous arrivons essoufflées à l’auberge. Pour nous remettre de nos émotions, nous allons prendre un bon bain pour nous détendre. Comme expliqué précédemment, le bain est un lieu de commérage et notre rencontre avec des Japonaises fort sympathiques nous aura permis de confirmer ceci.

Après avoir barboté dans l’eau durant quelques heures, nous avons ensuite préparé nos valises pour les confier le lendemain matin au transporteur Kuroneko. En effet, Kuroneko est un service plutôt abordable proposé par les nippons qui permet de transporter des bagages d’une destination à une autre (n’importe laquelle) dans la journée. Très pratique pour les (pseudo) globe-trotters que nous sommes.

Nous n'avons pas eu le temps de tout rédiger dans les détails comme nous l'avions fait pour les jours précédents, ainsi désormais voici des résumés brefs des évènements qui ont ponctué nos journées :

Koya-san (11 avril)
- Nous avons utilisé le service de transporteur Kuroneko qui s'est chargé de récupérer nos valises à l'auberge d'Osaka et de les emmener à Kyoto. Nous n'avions donc pas de vêtements propres pendant un jour (heureusement que les sacs des mecs étaient quasi-vides pour pouvoir transporter les trousses de toilette des filles ;o)).
- Nous avons pris le train et le funiculaire pour aller jusqu'à Koya-san et avons commencé à devenir Japonais, ayant pris goût à la sieste dans les transports (nous vous invitons à faire un petit tour sur le groupe Facebook "Nobody Sleeps Like the Japanese Do")
 
-De nombreuses visites d'un lieu féérique (pass pour visiter Kongobuji Temple, Daito Temple, Kondo Temple, Reihoken Temple, Daishi Kyokai... plus de précisions sur les trésors culturels de Koyasan dans cet article)
- La pierre dont le poids est censé représenter nos pêchés
- Arroser les bouddha

- On a soulevé et fait tourner une pagode (si,si)
- Ophélie et Minh Marie ont rencontré lors de leur repas du midi au konbini une guide touristique Japonaise qui voulait s'exercer en anglais
- Mini-clash en attendant le bus (ahem...)
- Train vers Kyoto, tout le monde ou presque a roupillé, on commence à devenir vraiment Japonais ^^
- Arrivée à Kyoto, découverte de l'auberge de jeunesse avec le mec qui cligne sans arrêt des yeux
- On a marché jusqu’au centre ville pendant 45 min pour visiter le Ponto-cho. M&Ms, Ophé, Claire et Manal sont rentrées à pied pendant que les mecs sont rentrés en 3 mn en taxi (vive la galanterie).

La citation du jour : "C'est un peu sectaire, mais ils prêchent en Japonais donc c'est pas très dangereux" Nathanael

Kyoto (12 avril)

- Parenthèse propreté petite leçon de savoir vivre à la japonaise, pas de poubelle
- Temps de merde…
- 3 temples : toji, nishi hongan, higashi hongan
- Trempés on avait l’air pathétiques

- Onsen
- Konbini
- Soirée mamie

Nara (13 avril)
- Train
- Todai-ji
- Popo, Agnes, Ophé, M&Ms sont parties plus tot
- Vue d’en haut
- Photo avec les lycéens hilares
- Repas à midi entre filles/pour les mecs dans un tout petit resto
- Nath s'est paumé
- Popo & Agnès ont passé leur première soirée dans le fameux bar XD
- Pour les autres : arcades et on a rencontré un Japonais qui parlait très bien français

Kyoto (14 avril)

- Visite des temples & jardins magnifiques
- Popo, Agnès et M&Ms : bar Kazuya, Yoshinosuke, rentrées à 6h30 du mat

Kyoto (15 avril)

- Journée libre
- Ophé, M&Ms shopping pépère, marché de Nishiki
- Les autres : ???
- Ophé, M&Ms clodos « check out, no inside » pendant 3h, du coup on a mangé au restau super lentement (fallait bien tenir pendant 3h), et on est allées lire des magazines au konbini
- Clodos dans la gare, assis par terre

- Bus de nuit en route pour Tokyo

Tokyo (16 avril)
- Temps de merde (pluie, etc…)
- Visite d'Asakusa (le quartier dans lequel était notre auberge de jeunesse), achat de souvenirs

- Séparation des groupes : Popo, Agnès et M&Ms ont visité Shibuya, Omotesando...
La citation du jour : « Oh regarde, ils sont forts ces Japonais, c’est trop stylé l’attaque Flammèche de Salamèche ils l’ont fait en statue » François

Tokyo (17 avril)

- Certains se sont levés à 4h du mat pour aller au marché des poissons, Tsukiji, il a neigé (ce sont des warriors)
- Agnès, Popo & M&Ms sont allées à l'ambassade (après avoir vu l'annonce de l'éruption du volcan islandais et les possibilités de rester bloquer indéfiniment...) mais c'était fermé (bah ouais, un samedi, comment voulez-vous que les Français travaillent ? ^^)
- Visite du musée de la guerre

- Vue de Tokyo du haut de l'Hôtel de ville, rencontre avec des Français et notamment le frère d'une 1A à la l'EDHEC (le monde est petit...)
- Aprem à Odaiba, photos sur les rochers (style pochette de CD des Backstreet Boys)

- Visite d'Akihabara (quartier des geek et des otaku), maid café, Manal et M&Ms ont encore été stupides en donnant 600yen à des jeunes Japonais pour qu'ils puissent perdre au jeu du grappin
- Koizora à la télé youpi ^^

Tokyo (18 avril)
- Séparation des groupes
- Popo, Agnès et M&Ms ont fait du shopping à Shibuya avec des talons de 10cm, on a visité et maté à Harajuku, Ikebukuro, on a mangé des fat crêpes, Agnès s'est acheté un T-shirt pour hommes ("moi je fais du M" "ouais non toi t'es une chips, tu fais du XS"), Popo et M&Ms ont chacune déboursé 1500yen pour acheter le CD de LOST ASH, un groupe dont elles n'avaient jamais entendu parler et dont elles n'étaient pas sûres d'apprécier la musique, tout ça rien que pour avoir leur autographe, Popo & M&Ms ont fait un craquage complet dans un magasin qui vendait tout plein de trucs Johnnys (et des trucs Miura Haruma !), résultat des courses : un éventail acheté, deux badges (Seto Kouji et Miura Haruma) qu'elles ont trimballés pendant le reste du séjour, et non elles ne faisaient pas pitié
Nikko (19 avril)

- Agnès à l'ambassade, Popo & M&Ms en charge de l'excursion
- Arrivée à Nikko vers 11h30, visite de 3 temples
- On a mangé des yakitori troooooooop bons au Hippari Dako, resto apparemment très prisé des touristes ^^
- Après avoir fini la visite des temples, nous sommes rentrés vers 18h
- Popo, Ophé et M&Ms sont allées à Abercrombie XD
- Vol de retour officiellement annulé, AG de crise dans la salle commune de l'auberge de jeunesse

Tokyo (20 avril)

- Prolongation du séjour non prévue, on a du changer d'auberge de jeunesse et aller à l'annexe, Manal est rentrée (ses parents ont réussi à lui trouver un billet de retour)
- L'auberge de jeunesse ressemblait à un camp de réfugiés (eh ouais, tous bloqués au Japon à cause d'un volcan islandais alors qu'on veut rentrer à Paris, cherchez l'erreur)
- Agnès encore à l'ambassade
- On a plus ou moins glandé en groupes séparés en se demandant comment on allait faire si la situation venait à se prolonger pendant des semaines vu qu'on n'avait plus beaucoup de sous, on a même pensé à dormir dans le métro
- Agnès qui rentre de l'ambassade et qui nous annonce qu'on pourra loger chez l'habitant
- On fête ça en allant manger des fat gyoza
- Puis en se faisant un fat McDo


Tokyo (21 avril)


- Encore un changement d'auberge de jeunesse, cette fois-ci c'est le Sakura Hostel (toujours dans le même coin) mais on est dans des dortoirs qui ressemblent à des bunkers lol

- Popo & Agnès à l'ambassade et à la chambre de commerce (à la recherche d'un stage ^^)
- Les filles ont glandé dans le coin, 100-yen shop, achat de souvenirs pour la famille, les amis...
- Les garçons sont allés voir les sumo
- On a attendu à l'auberge le retour de Popo & Agnès
- Popo a trouvé son stage :D
- Les mecs se sont levés à 3h de mat pour regarder un match de foot

Tokyo (22 avril)

- L'ambassade nous fait transmettre un message comme quoi le consul est parti à l'aéroport pour que essayer de nous obtenir une place sur le vol du soir
- Du coup, nous avons passé notre journée à l’ambassade, de toute façon il faisait un temps de merde

- Ophé, Popo & M&Ms ont essayé d'aller acheter quelques derniers souvenirs dans le coin de Roppongi, mais non seulement le coin est super cher, il n'y a pour la plupart que des trucs Occidentaux
- A cause d'un malencontreux quiproquo, Agnès et M&Ms ont du faire le parcours du combattant pour arriver à l'aéroport à temps...
- Arrivée à Paris à 5h du mat, goodbye Japan, see you soon :')

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Ext'Asie 2010-2012